Nouveau single "Ma Diva" disponible ici : https://AntoineElie.lnk.to/madiva Retrouvez Antoine Elie sur : https://www.facebook.com/AntoineElieOfficiel Instagram : https://www.instagram.com/antoinelie/ Twitter : https://twitter.com/antoine__elie Crédits vidéos : Réalisé par Piergab au Sanatorium d'Aincourt Montage : Florent Tessier Crédits audio - Auteur - Antoine Elie Compositeurs - Luke, Dr.Swing, Antoine Elie - Paroles - J’compte les barreaux de ma cage Pour m’endormir, te rejoindre en rêve. J'suis en otage du soleil qui se lève. Tant d’jours, de semaines... Rien ne m’en soulage… Au ciel, je dessine ton visage en reliant les étoiles du bout de ma main. J’ai fait ça, meurtri, maintes et maintes fois... Il n’est plus là le lendemain... Courage. J’me le répète en boucle, le geôlier me reprend l'assiette. Oh pitié, je veux pas la sienne… J’suis ton roi, forgé dans l’acier. Hourra. Pour l’amour qu’on a fait, qu’on ne se refera jamais. Y’avait rien, t’étais déjà mienne... Sur le mur, j’tire un trait par an. A l’ombre, J’te surprends à planer, ma diva, Au plafond ; je divague sûrement… J’nous vois... vieux, heureux, parents... Allons ! Debout ! Ce n’était qu'un mirage. J’sens tes yeux m’irradier... Si c’est un rêve, ça m’ira… Si c’est un rêve, ça m’ira... J’compte sur ma rage de macaque Pour m’en sortir, te rejoindre entier ; Que rien n’me casse ; et me pendre à tes lèvres ; Ma muse, ma céleste ; et t’aimer au calme... Je tourne comme requin dans bocal, Comme ma langue dans ta boca, Comme tombant vers mon soleil Comme un astre esseulé... Courage Pour assumer la peine quand le monstre sort de la sieste, cœur mâché. Posée sur ma chaise, l’impatience... Et le temps s'assied... Hourra ! Pour notre amour parfait, tu ne me reverras jamais… Y’avait rien, t’étais déjà mienne... Sur le mur, j’tire un trait par an. A l’ombre, J’te surprends à planer, ma diva, Au plafond ; je divague sûrement… J’nous vois... vieux, heureux, parents... Allons ! Debout ! Ce n’était qu'un mirage. J’sens tes yeux m’irradier... Si c’est un rêve, ça m’ira… Même si c’t’un rêve, ça m’ira... Ôtez ma langue, pendez-la ! Mon âme en cendres, répandez-la ! Petite aiguille tourne, la grande est lasse... Entre ses bras, mon cœur rendait l'âme... Un trait par an. On en est là ; Le cœur béant sur le banc des lâches... Jusqu'à je-ne-sais-pas-quand, hélas... Ma vie est mince et le temps est large...